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2017 |
cr, cinéma, cartographie |
Géographie description de la terre.
Arragement of features of any complexity.
Big data solution, geography a tool pour localiser.
Film et média, quels types de savoir ces projets développent-ils.
Pour l’étude des séries, doit pouvoir tracer les réutilisations sur les réseaux sociaux.
Pas seulement un outil objectif froid. Cartes liées au champ d’étude. Possibilité d’une archéologie du savoir moderne. Ensemble du travail qui peut être présenté à travers le plan et la géographie.
Pas seulement employé comme un outil de référence, mais possibilité de l’employer de manière performative en recartographiant l’impact du film. En outre, la carte offre la possibilité de faire varier l’échelle afin d’offrir différentes perspectives sur un sujet.
Au moins cinq nationalités représentées ici tandis que traite de géographie.
Série avec 1 saison et plus de 200 épisodes, très nombreux personnages. Diffusées sur l’un des réseaux commerciaux les plus importants au Brésil.
Telenovellas présent des personnages très réalistes, et abordent des sujets sociaux. Commentaires et réactions du public sont très souvent pris en compte par les concepteurs, dès lors la réception de la production sur les réseaux sociaux est très importante.
Noter que le Brésil présente une des plus grandes présences mondiales sur les réseaux sociaux les plus importants.
Telenovelas exportées depuis 1972.
Lorsque cartographie la diffusion des téléséries américaines sur les réseaux sociaux, très étendue. Pourtant, lorsque cartographie les séries brésiliennes, bien moins étendu.
Comment expliquer que la carte ici ne soit pas pertinente. Peut-être liée à la forme de la fiction. Une seule saison, alors que Breaking bad, plusieurs séries. Question du public aussi.
Au-delà de la vision globale qu’elle donne des séries à travers le monde, peut sans doute permettre de différentier les résultats pour contraster importance des séries américaines.
Contribution à la discussion qui concerne non seulement le futur mais aussi le passé. Données sur l’entertainement collectées par le passé par le Canada. Calcul à partir du census.
Parle seulement ici de données publiques. Manière de protéger la confidentialité, supprimer les informations géographiques spécifiques. Ce qui en fait des données publics, et possibilité d’étudier la population comme homogène.
Données collectées en 1992 et ?, traite de l’internet à partir de 1996. Augmentation considérable de la population équipée avec cable.
Appris qu’après 2009, Statistique Canada a modifié sa méthode de traitement. Change complètement l’objectif de l’étude. Sociologie se dirige également vers big data. S’éloigne d’une certaine manière de l’exploitation statistique comme celle-ci.
Un changement de paradigme déjà intervenu dans le passé. Changement en 2009, dans l’âge du big data, les statistiques peuvent être redesigner, et fondées sur de nouvelles catégoriques. Data liberation initiative, besoin de sécurité pour pouvoir conduire l’analyse sur des datasets cohérents.
Compare œuvres d’art entre elles même mais hors de leur contextes. Quelle place pour l’étude culturelle ? Ne risque-t-on pas de tomber dans une nouveau structuraliste.
Braudel, je suis structuraliste par l’événement, peu mobilisé par l’événement, rien à voir avec la problématique qui trouble les autres sciences de l’homme, etc. Dans la troisième préface à la Méditérannée.
Instrumentation. Frustration sur le fait de passer à la carte, ne peut pas être structuraliste car computationnel. Finalement relativement banal. Quand lie les liens à l’empirique plus vraiment cartes. Toutes les visualisations sont computationnelles, mais pas interprétationnelles. C’est l’observation qui structure. Mais la visualisation que l’on peut produire après que l’observation soit fait. Mais il y a une résistance parmi les géographes à avoir des plans trop interprétatifs, car l’interprétation vient après la carte.
À partir du plan peut commencer à poser des questions, ne les résout pas. Par exemple, je ne vois pas les telenovellas sur la carte, pourquoi alors qu’elles sont si célèbres à travers le monde. M’oblige à comprendre la raison. Suis-je confronté à la même question du côté.
Problèmes méthodologiques majeurs.
Quid avec arrivée de Trudeau pour les census et retour des données.
Outils utilisés. Quel changement du paradigme visuel. Comme une discipline sociologie, ici régressions statistiques classiques, mais comme discipline, la sociologie s’oriente vers la visualisation. Pas encore quelque chose que pratique, mais une convergence de méthodes entre les disciplines comme il y a une convergence de médias.
Les mêmes outils peuvent ici mobiliser, vraie compétence.
S’intéresse films non fiction, conditions qui influence leur conception. Techniques, socioacadémiques, etc.
Forms of durational cinema
- durée (real time, extended takes)
- Extended run times
Film qui dure 8h durée d’une journée de travail typique.
Raison pour lesquelles ce genre d’approches émergence, permis d’un point de vue technique par la numérisation de la cinématographie. Elle permet de saisir des films longs. Mais elle s’explique aussi par des changements socio-économiques, tels que la désindustrialisation, industrialisation continue du sud, émergence du trading à haute fréquence. Mais aussi des évolutions artistiques. Projets sensoriels de nature ethnographique ou anthropologique. Et Slow cinema. Idée que l’essentiel du travail pas visible.
Leviathan, 2012, Lucien Castaing-Taylor. Réduire constraintes du film en définissant à l’avance les plages où présent.
Factory Sergei Loznitsa 2004, In Comparison 2009, etc
Labour in a single shot, Entre Egralb et Harun Farocki, 2011-2014. Projet manifeste. 1 à vidéos de 2 minutes, tout pris d’une prise. Static ou traveling, mais pas de montage. Travail payé ou pas, matériel ou immatériel. Le sujet du travail qui est donc investigué. Partie d’un catalogue web.
Automatizacion (Dalia Huerta, Mexico City, 2014)
S’inspire des premiers films de Lumière sur l’usine, différence que travaille quelque part dans le monde.
Park Lanes, Kevin Jerome Everson, 2015. Au début ne comprend pas ce que les gens font. Du bois et du métal sans que sache bien ce font les gens. Le travail essentiellement invisible, tout comme les personnes qui travaillent souvent noirs américains.
Transfert du concept du slow cinéma à ces films sur le travaille amène à poser la question de la relation entre le travail et cinéma.
Cinéma direct américain, changements de la re
Travailler sur les conditions opérationnelles du documentaire au Canada et son institutionnalisation. L’émergence d’un réalisme, et enjeu des financements.
La forme documentaire présente un potentiel de voir le monde. Mais reconfiguration ave la TV. Composant clef du financement pour le documentaire en particulier dans les années 90 avec l’émergence de télévisions cablées. Comment tourne vers présentation de masse. Intéressé par les contradictions internes liées à ce contexte de production.
CBC bloquant point de vue explicitement. Réalisateurs qui travaillent finalement en général pour très peu de commanditaires, ce qui les rend d’autant plus importants. Travaux beaucoup portés sur l’originalité. Aussi le fait de comprendre dans quelles conditions des projets naissent, sont financés, etc. importants.
Exceptions importantes interviennent. Par exemple lorsque institution recrute certaines personnes. Prendre aussi en compte l’inventivité des réalisateurs qui peuvent répondre de manière inventive à la contrainte. Peuvent faire un autre montage.
Bien sûr intéressant et réorientation de l’organisme centrée sur l’expression des voix "marginales", mais en réalité trois projets seulement, comment atteindre à une diversité avec seulement trois projets ? Crowdfunding beaucoup d’opportunités intéressantes, mais en réalité justifie également le recul du financement. Certains projets s’y prêtent bien, mais pas tout. Par ailleurs, la démarche est très chronophage.
Dans un ouvrage de 43, Word and Image, Eisenstein demande pourquoi nous avons besoin du montage. Rappel qu’il fut un temps où le montage était tout, aujourd’hui presque rien. Continue en disant que le montage est tout, mais indispensable.
Pourquoi nous avons besoin de montage, même le plus fanatique opposant au montage, bobines pas longueur indéfinie et condamné à travers des pièces avec des longueurs contraintes.
Pour lui bien plus qu’une nécessité technique. Une expression esthétique fondamentale. Répond au besoin de connecter et de l’exposition séquentielle du thème, du matériau, du plot, de l’action. Le montage un des éléments fondamentaux de l’expression cinématographique. Un moyen avant d’être un effet.
Digital editing laisse penser grand nombre de nouvelles possibilités. Changements récents dans l’apparatus du cinéma, paraît avoir des conséquences dramatique. Montage devenu inutile, remplacé par l’éditing. Pour Manovich, le montage remplacé dans sa dimension spatiale.
Disaparition du montage. Plusieurs instances de film, prisent en une seule séquence de plusieurs minutes. Création d’un sentiment unique, plus contraint par la dimension de la pellicule, la caméra, etc. En réalité, éléments de montage réalisés par des techniques numériques. Réaliser l’illusion d’une composition. Synthétique composition.
Dès lors nouvelle esthétique du montage dès lors que le montage disparu. éditing visibally plutôt que invisible.
Montage avec quatre vues sur un seul écran. Innovation rendue possible par l’édition numérique qui permet d’assembler des formes paraissant avoir été montées ensemble. Les films ont des marques d’identification.
Pas le cas sur la vidéo avant 1977??, Thoms Ahanian Digital Nonlinear Editing. Pour lui révolutionnaire, timemark. L’ère digitale du montage vidéo commence avec le time codage des bandes vidéos. Timecode révèle les possibilité du nouveau médium.
Single frame, single shot films. Mais de plus en plus fréquents. Notamment Victoria 2015, Lost in London. Film comme audiovisual artefact construit après. Le premier film à être broadcaster en live.
Bien sûr premiers films de l’histoire du cinéma plans uniques. Montage pas réductible à l’editing. Un concept plus général. Arrangement de l’ensemble des aspects de la prise de vue et de la composition au cinéma en général. Editing le moyen le plus commun. Noël Carroll, The Philosophy of motion pictures. "la plupart des filsms comprennent plus d’une vue..."
Editing est l’espace entre le closeup camera position et la vue longue. Séquence peu
In camera mouvements… the space between is exhibited
Un style exhibiteur.
Achever un effet, que fonctionnellement équivalent, que de passer d’une caméra à l’autre. Logique fonctionnaliste pour Carroll. Peut être pratiqué indifféremment par la caméra ou l’editing.
Editing devenu non nécessaire à l’ère du numérique. Montage oui. Pas mort comme le suggérait Einsenstein.
Pas une ontologie, mais approche fonctionnaliste. Pourquoi avons-nous besoin du montage en fait. Pour la même raison que celle avancée par Eisenstein. C‘est ce qui rattache la partie du cinéma à l’esthétique.
Crosscutting, D.W. Griffith and the evolution of the underlying narrator during cinema’s transitional era
Gaudreault et Philippe Gauthier
Retourner à une théorie de l’espace, développée lorsque l’autre auteur à l’école primaire. François Jost, Le récit cinématographique 1990, p. 98. Théorie de la narration cinématographique basée sur une grammaire du montage.
Identifer le nouveau cadre théorique identifié par Gauthier et moi. Resemble, mais certainement pas le même. Table parue dans une nouvelle édition du Récit cinématographiques avec Jost. En 2015, reçu jeune ingénieur qui cherchait un sujet pour travailler sur le cinéma. Un sujet sur l’émergence du Crosscutting dans les débuts du cinéma. Lui ai alors proposé coo-auteur volume en 2008 sur Grifith, puis commande d’un ouvrage par Columbia en 2019.
Quelques aspects spécifiques de son émergence. Griffith fonda crosscutting lorsque commence à éditer des films. AU moins dix films que peut identifier en tant que tels de 1906 à 1908. Nombreuses productions Pathé qui dit beaucoup du rôle de cette firme dans l’enrichissement des formes cinématographiques.
Pas un procédé inventé par Griffith mais une figure clef dans cette méthode de construction des films. Qu’est ce que cela signifie quelle contribution réelle au développement de ces technologiques. Présenter aujourd’hui un cadre d’interprétation de la narration ciné.
Actorial Cuts vs Narratorial Cuts, avec 4 pipes.
Examiner la nature de la relation entre l’espace diabétique et la production d’un nouveau cadre en détectant variations. Examiner le cas de cet exemple prototypique. Quatre des relations fondamentales du cinéma au moins présente une fois dans ce film.
The Lonedale Operator, 1911, Une femme qui s’occupe de transmission attaquée,
Première partie du
Exemples de Actorials cuts. Ici l’acteur quite successivement le champ de vision dans des plans successifs. Narratorial cut. Biffidation entre une séparation des acteurs en deux groupes de manière qu’il existe une distance entre les deux. L‘opératrice dans une station, l’autre dans un autre endroit. Distance qui empêche de montrer les deux dans le même plan en éloignant la caméra. Nécessite un nouveau plan.
Théorie de l’articulation des langages spaciaux qui considère quatre type.
Spatial identity, spatial alterity by continuity, proximal disjunction, distal disjunction.
Plan large, puis plan focal, retour au plan initial : spatial identity
Trois autres types de connexions, établissent tous des relations d’altérité. Soit contigu, soit en état de disjonction. La disjonction s’applique chaque fois que le spectateur peut supposer que deux espaces juxtaposés ne sont pas des espaces continus. Et inversement.
Cas traditionnel de altérité par continuité, le plan contre champs. Chaque changement de champs contigus. Jonctions qui peuvent connecter deux espaces proches ou deux espaces distants.
Notre hypothèse concernant les coupures auctoriales ou narratives s’appliquent bien au cas.
Identifier la nature des plans, sont-elle auctoriales ou narratoriales. Ensuite possible de déterminer la relation spatiale qui couple les différents plans dans cette séquence.
Plusieurs possibles
- Acto-identity
- acto-contiguity
- acto-proximal
- acto-distal
- narrato-identity
- narrato-contiguity
- narrato-proximal
- narrato-distal
Que réduit à 6
- acto-contiguity
- acto-proximal
- acto-distal
- narrato-identity
- narrato-proximal
- narrato-distal
Intensité différente en fonction de la présence du narrateur. Plus séquence acto-contiguity, the more the profilais motivates the assemblage of shots (and the cesse the uderlying narrator is involved)
Conversely the more the sequence tends toward the narrate-distal, the more it is the narrator who does the "speaking".
Cadre modélisation qui permettra d’évaluer les paramètres d’évolution du cross-cutting.
Identifie déjà que 3 films...
Extatic worlds media...
Travail sur l’usage du film à exposition de 1967. Narration urbaine.
Sans doute un peu interlope sur ce panel mais papier influencé par articles de André Gaudrault.
Voir comment vidéo art et comment sont influencés par ontologie télévisuelles et télévision en direct.
Pratique de l’enregsitrement vidéo dans la continuité de la tv solutionne le problème de l’enregistrement. Mirror Machine, Video and Identity. Vidéo théorisée comme un médium de l’intime. Première expérience de cette expression, le programme Société nouvelle au Canada financé par Sony pour donner plus de visibilité à des populations marginalisées au Canada en 1967
Artistes concernés par l’art de la performance, même époque. Idée de la vidéo comme un miroir, comme documentaire, comme un médium électronique. Déconstruire ontologie de la vidéo, son immédiateté, etc.
Vidéo editing au départ difficile car sinon deux caméras.
1975 expérimentation sur la vidéo, ressemble comme feedback mais en fait construction complète. Grande spécificité du médium alors liées au médium à cette époque et notamment l’impossibilité virtuelle de monter. Explique en partie la transformation vers performatif et l’exploration du playback.
Transformation du sensation du temps. McLuhan, parle de temps et d’espace aboli de manière controversée. Yoko Ono, Sky TV, 1966. Circuit fermé ciel de la galerie. Lire premières expériences avec la vidéo, à travers travaux sur le portrait. Exemple Gordon et Parano.
24h Psyho 94, méditation sur ce sentiment de temps étendu. Un commentaire sur la notion du temps réel, et aussi simultanéité. Manifestation combinaison des obsessions du real time et captation.
Dans le travail Parano, Installatio spécifique au site, change au cours du temps. Éléments évoluant de manière organique. Audience centrale pour le processus.
œuvre qui confronte deux divisions d’un même match en direct. Tracer tous les mouvements de l‘action. Ajout de sous-titre au sujet des sensations imaginées des joueurs. Mise en musique par sound designer.
Penser le film comme deux événements, celui du jeu enregistré par 17 caméras, et celui de l’editing qui est une post production. Plusieurs installations pour la présentation. Ici s’intéresser à la présentation sur écran qui est plus personnel.
Temps automatique qui appartient à une épistémologie télévisuelle spécifique. Peut rendre l’immédiat accessible. Entrer dans le temps automatique, le rendre simultanée. Comprendre la manière dont la focalisation sur Zidane, frustre la confrontation. Références à Velasquez, etc. mais privilégie plutôt comparaison avec le présent. Par exemple Gertrud Stein sur le portrait en 1923. If I told him, un portrait complet de Picasso.
Continue sa poésie présente en jouant sur présence plutôt que répétition. Répète sa présence par il, il Créer un sens de simultanéité.
Ici effect simultanéité tient sans doute au fait que toujours focalisé sur Zidane, ses actions, mais aussi ses attentes. Une sorte de pro-action du film d’action collective. Film qui suppose off-film. Histoire enfant de Zidane, bruit enfants. En réalité un portrait du 21e siècle.